D.Gray-man Rebirth
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 La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?

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4 participants
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Svetlana Severinova
Noah
Noah
Svetlana Severinova


Féminin

Age : 29
Messages : 27

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MessageSujet: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 13:25

Carte d'identité



La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? Sans-titre-3
    • - Nom :Sergueïevna Severinova

    • - Prénom : Svetlana

    • - Sexe :Femme

    • - Age : 72 ans d'esprit, la vingtaine en apparence

    • - Rang : Noah

    • - Clan : Partisane du Comte



Qui suis-je ?

  • - Description Physique détaillée


La beauté est un don naturel qui échoit tout aussi bien à la plus misérable des femmes qu'à la plus digne et à la plus aimée.


Malgré son rang social des plus bas, ses malheurs les plus noirs, ses airs perpétuellement indifférents, rêveurs, presque tristes, il est indéniable que Svetlana Severinova, Moscovite de son état, soit l’une des plus belles femmes de l’Est. Présomptueuse ? Moi ? Je n’oserais jamais ! Mais regardez plutôt attentivement l’ombre, perdue dans le fin brouillard, qui se profile au coin de la rue. Peut-être aurez-vous alors un léger aperçu de mes dires.

Dans la brume environnante qui peu à peu s’efface, il est désormais possible de délimiter les contours lisses et arrondis d’une silhouette purement féminine. Celle-ci, élancée, mince sans être maigre, se meut avec une grâce féline, et avance vers vous à une allure lente et cadencée, comme dans l’une de ces scènes de charme au ralentit. Votre champs de vision déjà rétrécit à cette unique forme humaine, se focalise d’autant plus sur elle alors qu’une peau opaline s’offre à votre regard. Des jambes, fines, élégantes, dénudées de tout ornement- si ce n’est une paire d’escarpins noirs-, à la pâleur remarquable presque irréel, émergées doucement du flou ambiant vous laissent songeur. La peau qui les couvre est-elle aussi douce et satiné que la soie ? Peut-être que oui. Mais c’est sans s’attarder plus sur la question que vos yeux remontent la ligne verticale de ces membres gracieux qui vous emmène à admirer cette fois ci des courbes avenantes, propres au corps féminin. Des hanches généreuses sans pour autant paraitre vulgaires, et une poitrine de taille respectable, ronde et ferme. Des attributs qui font souvent tourner les têtes, aussi bien féminines que masculine. Et qui par la suite vous laissent glisser par la suite sur des épaules larges et carrées, pas pour autant vilaines à regarder, terminées par des bras blancs aux mains arachnéennes peintes de noir. Le tout surplombé d’un cou fin et d’un visage aux traits slaves et une longue chevelure de geais aux reflets bleu. Des yeux en amandes aux pupilles gris sombre – sombre comme les quartiers pauvres de Moscou- cernés d’une couche –peut-être trop épaisse ?- de mascara et d’Eyeliner, un nez droit, une bouche pulpeuse aux teintes violacées –ayant apparemment perdue l'habitude de sourire- et des pommettes hautes, caractéristique de la figure russe, donne à ce doux visage ovale - qui gagnerait à afficher des expression plus variés que la simple neutralité, la mélancolie, la nostalgie, la tristesse- un charme particulier que seuls les connaisseurs peuvent apprécier à sa juste valeur. Et qui, même si il est souvent jugé froid, séduit par son petit côté exotique. (Certain remplaceront le « x » par un « r » mais c’est comme ils veulent ^^)

"La beauté a toujours deux faces, l'une visible, l'autre cachée. Il faut ainsi savoir apprécier la première et redouter la deuxième qui peut surgir quand vous vous y attendez le moins."


Toutefois cela n'est que sont apparence purement humaine. L'inoffensive, la fragile, la douce. Apparence bien loin, de la Noah qui habite Svetalana. Et si cette dernière laisse sa partie sombre prendre le dessus, c'est une tout autre personne, aussi bien au niveau caractère qu'au niveau physique, qui se présente à vous. La peau blanche devient alors grise, un gris perle, d' aspect étonnement lisse. Un aspect différent de celui habituel qui est plus grisâtre, plus violent. Le physique reste à première vue le même, si ce n'est que les muscles se renforcent, et confèrent à la Moscovite une aura de danger caché, sournois, dont même le plus puissant des tigre d'amour se méfierait. Le visage se muni d'un sourire perpétuellement mélancolique et triste, sonnant particulièrement faux alors qu'apparait une lueur de haine et de colère retenue, dans les yeux désormais jaune or de la brune. Mélangez tout cela à un costume des plus dénudé, et admirez une autre Svetalana, plus pernicieuse et vicieuse que l'humaine, la douce. Munie alors d'un charme fatal doublé d'intensité, mais qui vous envoie des frissons glacés d'avertissement de la nuque au bas du dos, à vous de voir si vous vous laissez prendre dans sa filets ou si vous résistez à ce corps enchanteur.[/list]



  • Caractère du personnage


Dans une pièce immense aux dimensions indéfinie, ses murs d’un blanc neige percés par de larges verrières, un piano à queue noir, imposant de grâce, de classe et de raffinement, reposait, ouvert à une main charitable qui viendrait faire revivre de douces mélopée sur ses touches lustrée. Main qui ne tarda pas d’ailleurs. Ce fut sans signe avant-coureur, un bruit, un pas, que pénétra calmement dans la pièce une jeune personne. Celle-ci, hésitant un instant devant l’instrument de toute beauté, finit par s’installer sur le tabouret de velours sombre, sa longue chevelure ébène tendant vers le sol.


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Un pauvre sourire vint éclairer les lèvres violacées de la pianiste au regard triste. Dire qu’il y a quelques années elle rêvait seulement d’effleurer du bout du doigt les touches d’un instrument à corde de cette envergure. Désormais elle y avait accès libre. Son rêve avait perdue de sa magie. Maintenant, le piano n’était pour elle qu’une occupation comme une autre. Et cette salle, sa salle, celle où tout ou presque lui était permis, celle où elle pouvait exprimer ses sentiments le plus nobles, et adoucir ses humeurs les plus noires, n’avait d’intérêt à ce jour que son silence et son isolement du reste du monde. Car oui, la jeune femme était du genre à aimer la solitude, vous me direz « Normal » vu le sentiment qui l’habite. Mais c’était plus fort que cela. Etre seule est tout autant sécurisant, qu’inquiétant. Seule dans une pièce, aucun ennemi pour vous menacer. Seule face à ses ennemis, peu de chances de s’en sortir. La jeune femme aimait la solitude autant qu’elle a redoutait. Mais ce paradoxe n’était pas son unique trait de caractère. Alors au son de cette valse entrainante –jouée avec dextérité par les doigts longs et agiles de la russe- je dessinerais pour vous un portrait rapide de la personnalité humaine de Svetlana Severinova, Noah de la solitude pour vous servir.

Il y avait tout d’abord –quelque chose qui sautait aux yeux lorsque l’on posait son regard sur ses traits slaves- cette mélancolie, cette nostalgie poignante qui vous pinçait le cœur. Le visage de ceux n’ayant jamais pu profiter des joies de la vie. Généralement, c’était dans cet état d’esprit, triste et sombre, que se situait la brune. Cette mélancolie s’accompagnait ordinairement, d’un regard rêveur, contemplatifs d’un monde auquel –bien malgré elle- la brune ne pourrait jamais s’intégrer. Une attitude songeuse qui l’emmenait souvent à imaginer son propre univers dans l’espoir d’oublier un instant son sentiment d’abandon inexplicable. Le passé et ses conséquences sur le présent, dans le cas de Svetlana, avait quelque chose d’affligeant. De désespérant, venant du fait que l’on ne puisse rien y faire.

Aussi vous vous doutez bien que ce n’est nullement une qualité mais bien un état d’esprit permanent dans lequel est engluée corps et âme la Noah.

Mais passons sur une note plus douce, et citons maintenant quelques-unes des principales vertus de la Russe…

Calme, imperturbable, à la limite d’être considérée comme flegmatique, la jeune femme possède un sang-froid et une maitrise d’elle-même à toute épreuve. Avoir élevé trois gamins, trois diables, qui seraient prêt à réaliser vos pires cauchemars uniquement pour rigoler, et avec interdiction de leur abimer un poil sans être punie, je puis vous assurer que, la Solitude s’était empressée d’apprendre la notion de self-control. Vous pourriez lui sortir les pires injures qui soient, lui faire subir les pires actes, que désormais elle resterait de marbre, placide. Non pour vous faire plaisir, mais justement pour vous emmerder, ou bien par habitude…peut-être les deux.

Viens ensuite, sa sagacité. Avec la lueur calculatrice que prenaient parfois les prunelles grises de notre chère Moscovite, nul doute que celle-ci posséda quelques trésors de perspicacité et de clairvoyance derrière ses airs vulnérables. Extrêmement au fait des choses et particulièrement prévoyante, vous ne lui ferez pas prendre une vache pour un bœuf si facilement. Cela relevait quasiment de l’imaginaire, Svetlana Severinova étant le genre de personne avisée, lucide, à la logique tranchante, et la langue acérée lorsque les occasions se présentaient. Mêler cela en plus à une intuitivité agaçante, et vous aurez une assez bonne idée de pourquoi les Noah plus âgés estimaient leur benjamine. Si après ce petit aperçu l’on osait la dire sans qualités…Soit on était aveugle, soit on le faisait exprès. La jeune femme était indéniablement une personne habile, adroite, bonne diplomate, capable de vous mener en bateau si vous n’y preniez pas garde car sous ses airs de poupées russe, c’était une femme retorse, dégourdie, débrouillarde, futée, maligne, qui avait beaucoup d’expérience en mensonge et tours de forces.

Et puis cette sensibilité, ce raffinement, cette finesse, cette grâce qui donnait à la Noah des airs de déesse grecque. Chaque geste, dans son entier épuré, était empreint d’une légèreté qui détonnait purement et simplement lorsque l’on abordait les origines de la brune, qui –bien que cela se sache peu-, venait du bas peuple. Mais passer des années en tant que domestique, à admirer les gens de la haute –rêver de pouvoir y accéder un jour-, à reproduire leurs gestes les plus beaux, la brune en y ajoutant sa propre délicatesse, sa propre souplesse, l’avait magnifiée. Ses manière courtoises et obligeantes n’étant qu’un plus.

Magnificence d’autant plus rehaussée par ce côté mystérieux, secret, ténébreux, qui laissait par moment entrevoir la deuxième personnalité de Svetlana, son héritage Noah. Renfermée, impénétrable, confidentielle, la jeune femme savait l’être. Et se faire passer pour la plus furtive des ombres n’était pas non plus un problème. Particulièrement lorsque son épiderme pâle comme les rayons de la lune prenait cette teinte grise, caractéristique des descendant de Noé.

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La musique avait changé, bien plus triste, bien plus sombre. Sans pour autant être funèbre.

« Moonlight… »murmura doucement la vois suave de la jeune femme dans sa langue natale.

Le crépuscule. Passage du jour à la nuit, de la lumière aux ténèbres. Ténèbres transpirant, exsudant, suintant par tous les pores, de cette peau douce, et désormais grise. Ténèbres froides, qui vous laissaient amères, désemparés, accablés, frustrés, de ne pouvoir y apporter lumière et joie. Ténèbres emplies de colère, de colère froide à vous geler les sens d’un seul regard, et définissant sans faute l’un des trait de caractère les plus agressif chez la version Noah de Svet’. Ce même Noah, en perpétuelle quête de solitude par peur, du contact, des autres, de l’homme, rejetait ardemment celle-ci par crainte de sa propre faiblesse ou par désir d’amour et d’affection. Aussi, c’était une hargne et une frustration peu banale que ce paradoxe transmettait à Svetlana, la rendant particulièrement irascible, et vindicative par moment. Particulièrement après une mission ratée, ou un bain de foule.

Heureusement –ou malheureusement- cela était tempéré toutefois par une indifférence froide envers les choses et les gens. Il fallait vraiment y aller franchement pour faire atteindre cet état de courroux à la brune. Néanmoins son attitude blasée n’était pas des plus agréables à vivre, même si l’on s’y faisait mieux et qu’elle était plus supportable pour les gens d’un naturel calme et patient. Un bloc de glace sur patte, la qualifiait certains...ils n’avaient pas tort au fond, car s’enfermant hermétique dans son sentiment, la Noah s’extirpait du monde et se plongeait dans une illusion où rien de ce qui était réel n’avait d’importance. Vous pouviez mourir sous ses yeux qu’elle ne s’en soucierait même pas et vous regarderait avec un air pincé (sûrement gênée par l’odeur qui se dégagerais de votre cadavre) mais sans plus. Un flegme exagérément développé à en perdre son charme.

Un charme caractérisant la face humaine de la brune, qui se trouvait d’autant plus gâché par cet égoïsme outrageant dont faisait preuve son homologue Noah. Elle pouvait décider de vous faire souffrir, de vous plonger dans une solitude noire, uniquement pour son soulagement personnel. Car oui, d’un certain côté, Svetlana était sadique, aimant faire souffrir autrui pour son plaisir personnel. Elle ne pouvait supporte de voir quiconque heureux, entouré ‘amis, d’une famille, ou encore étreint par un amant, ou un enfant. Une jalousie empoisonné bouillonnait alors dans ses veine, et dégouté d’être de son côté toujours aussi seul, elle tentait de s’approprier ces personne. D’en faire ses compagnons de jeux, en vain. Elle se sentait toujours seule. Et c’est alors que le dépit guidait son poignard dans le cœur de ses jouets, leur ôtant toute vie. Mais encore une fois ce pouvait presque être considéré comme une maladie psychologique provenant du sentiment du descendant de Noé l’habitant. Tiens mais pendant que j’y pense, ce Noé…il n’aurait pas une âme d’enfant par hasard ? Ses actions et réactions semblant convenir au qualificatif… Question à creuser.





  • - Équipement : Une dague d'origine et de facture russe. De collection attention! La lame épaisse et large, nul doute qu'un coup au cœur de celle-ci vous laisserait peu de chance de vous en sortir. Mais c'est plus pour sa valeur symbolique et son esthétique que Svetlana la conserve précieusement avec elle...


  • - Ambitions :Trouver quelqu'un, quelque chose qui puisse combler ce vide béant dans son cœur et son esprit...


  • -Sentiment incarné : La solitude.


  • - Pouvoirs : Solitary Soul


Légende: ( * ) contrainte


La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. La solitude trouble les cerveaux qu'elle n'illumine pas.


  1. " La solitude est le fond ultime de la condition humaine. L'homme est l'unique être qui se sente seul et qui cherche l'autre." Et c'est sur cela que la brune n'hésite pas à jouer -il faut dire aussi que c'est son unique capacité. Jouer avec les sentiments humains. Plus particulièrement la solitude. Solitude qu'elle peut, ou amplifier, ou diminuer, vous faisant penser que vous êtes seul ou alors très entouré. Vous faisant ressentir un sentiment puissant d'abandon, un froid sibérien s'emparant de vous, engourdissant vos pensées et vos membres -quand bien même vous seriez accompagné. Ou au contraire, vous faire croire que une armée se trouve à vos côtés, augmentant une confiance en vous basée sur absolument rien. Première capacité, et plus douce des trois que la Russe possède pour le moment.


  1. Deuxième pouvoir. La Noah de la Solitude détiens une capacité emphatique lui permettant de transférez sa propre solitude, chargé de matière noire, nocive autant pour les simples humains que pour les exorcistes (qui résistent plus longtemps mais dont l'innocence est ébranlée, hésitante à s'activer si le taux de Compatibilité n'est pas supérieur à 65%) , dans une ou deux personnes maximum ( * pour deux personne cela lui demande beaucoup d'effort, aussi elle tente de dénicher une proie de choix pour ne pas avoir à s'épuiser) Si la personne désigné ne parviens pas à sa défaire de l'emprise de Svetlana (*qui doit être tactile et visuelle) au bout d'une dizaine de minutes, elle peut perdre sa personnalité, et devenir l'ombre d'elle, une âme errante emplie de solitude. En revanche une personne assez forte d'esprit pourrait produire le phénomène inverse, mais je n'en dis pas plus! ^^


  1. Troisième capacité, et probablement la plus dangereuse. Grâce à la capacité numéros deux (*celle-ci doit être à son dernier stade), si elle est confronté à plusieurs ennemis, Svetlana, grâce à la matière noire injectée dans l'esprit de sa cible, peut manipuler ses gestes, ses paroles, (*malheureusement pas les pouvoir des exorciste, incompatible avec la matière noire qui les annules complètement) et en faire un pantin lui servant d'arme offensive, ou de bouclier (la brune ne se battant elle-même que très peu, et en dernier recours.)


Ces trois techniques seront plus que probablement renforcées avec le temps et l'expérience, car plus les années passent, plus Svetlana se sent seule, et plus ses pouvoirs grandissent.





Dernière édition par Svetlana Severinova le Jeu 17 Mar - 21:48, édité 23 fois
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 13:25

Histoire du personnage:

« Mon histoire commence comme toutes les autres, avec la première phrase, du premier chapitre, du premier tome…Il était une fois… »

…dans les rues glacées de la grande St- Petersburg, une femme, seule, ombre parmi les ombres de cette nuit noire du mois d’Octobre. Son ventre proéminent la gênait quelque peu, mais c’était courageusement qu’elle marchait vers sa destination…La clinique la plus proche. Seule elle l’était. Son mari, trainant dans elle ne savait qu’elle club privé, son fils ayant refusé de l’accompagné…oui elle était seule. Si seule qu’elle en aurait pleuré. Mais non, elle devait y arriver, pour elle, pour son enfant.

Et elle y arriva, malgré le froid, la neige, le vent, elle arriva à la clinique…de quel nom déjà ? Quelle importance. Pénétrant les lieux avec difficulté, les escaliers et leurs marches n’étaient pas des plus doux, elle s’adressa rapidement aux femmes à l’accueil…puis un quart d’heure plus tard (oui vous avez bien entendu un quart d’heure plus tard) elle fut prise en charge et emmené dans une des chambre de l’étage réservé à la maternité.

L’accouchement fut relativement simple…sans problème au niveau de l’enfant ni de sa mère…sauf peut-être une effroyable douleur pour celle-ci, mais on pouvait passer dessus non ? C’était plutôt commun.

-Une fille madame. Quel nom voulez-vous lui donner.

Dans un soupir entre la lassitude et le bonheur le plus complet, la femme énonça :

-Svetlana. Svetlana Sergueïevna Severinova.

Et c’est sans plus de soin qu’on la laissa seule dans la pièce blanche, aseptisée, à moitié inconsciente, la fatigue finissant par l’emporter dans un sommeil des plus attendu, sans savoir ce que deviendrais cette enfant dans quelques années, et par sa faute.


OoOoOoO


Une gamine de huit ans courre dans les rues brûlante de la vielle ville. Ses cheveux bruns libres au vent, sa jolie robe bleu virevoltante, elle rit, heureuse. Elle accourt auprès de ses amis, dans le but de leur apprendre la bonne nouvelle. Elle allait avoir une petite sœur…ou un petit frère. Mais elle préférait une fille. Une fille c’est une amie, à qui l’on peut parler de chose de fille. Enfin elle ne serait plus seule ! Papa n’était jamais là toujours à l’usine avec grand frère, maman elle était la plupart du temps chez d’autre personne à faire le ménage et ne jouait pas souvent avec elle, donc c’est souvent qu’elle était seule dans la maison, seule avec sa petite poupée de chiffon. Toute seule…mais plus pour longtemps. Elle l’espérait.

OoOoOoO

Malheureusement, tout ne se passa pas de la meilleure des façons, et c’est dans les pleurs de Svetlana et de sa mère, que le bébé tant attendu, ne poussa pas son premier cri, réduit au silence inexplicablement. Et ajouter à cela une impossibilité de refaire des enfants pour la mère et vous obtiendrez le volume des sanglots qui s’élevait de la chambre ce matin-là. Et la traumatisme profond de la mère qui ne fut alors plus jamais la même.

OoOoOoO

Les années passaient et la petite Svetlana se sentait de plus en plus seule, songeuse, elle trouvait du réconfort dans ses rêveries-, et devenait plus calme et réfléchie qu’auparavant. Sa mère était perdue dans son chagrin, oubliant jusqu’à ses propres devoirs de mère de famille. Son père, de plus en plus insupportable, ingrat et violent, était menacé de perdre son travail. Et son grand frère quant à lui ne rentrait à la maison que pour manger, le reste du temps, il était dehors avec des « amis ». Oh oui tout cela elle le savait, à force d’être seule et de n’avoir rien à faire, elle avait appris à observer, et désormais plus aucun secret ne pouvait lui être caché. Elle possédait un levier sur chacun d’eux, et tous se méfiait d’elle, lui promettant monts et merveilles pour son silence. Inutilement d’ailleurs car de l’argent, des bonbons, des jouets, tout cela elle s’en fichait. Ce qu’elle désirait c’était de l’affection, de la vraie.

C’est dans cette ambiance plutôt sinistre, que personne ne remarqua la silhouette s’étant glissée, un soir de pleine lune, hors de la maison, se rendant vers le cimetière de la ville. Avant de revenir bien peu plus tard, la démarche raide, son ombre informe prenant une forme des plus menaçantes. Personne sauf Svetlana qui ne fit qu’observer passive, totalement indifférente à ce qu’il pouvait bien se passer. Que cela changerait-il ? Beaucoup de chose hélas.

OoOoOoO

Un bruit de toit qui s’effondre, des cris de douleurs et de souffrance. C’était tout ce dont je me souvenais lorsque je me suis réveillée dans cette pièce blanche à l’odeur d’infirmerie.

A côté de moi un homme à l’habit plus qu’étrange. Grande cape noire, une croix blanche placé sur son cœur, il ne ressemblait à rien de ce que j’ai pu voir dans ma vie. Complètement réveillé, n’aillant que quelques bleus –supportable-, je m’assis en tailleur, l’observant, neutre.

-Que s’est-il passé ?


J’avais parlé très calmement. Il ne servait à rien de s’énerver, je ne ferais que d’attraper un mal de tête épuisant. Je désirais connaitre la fin de l’histoire- oui je savais que c’était la fin, la famille n’existait plus t ce depuis la mort du bébé, j’ignorais pourquoi d’ailleurs. Aussi c’est un air sincèrement triste peint sur le visage, que l’homme étrange me répondit en ces mots.

-Toi et ta famille avez été victime d’une attaque et…


-C’était maman. le coupais-je tranquillement. Je l’avais vu, elle et son ombre devenue difforme. Je me souvenais de sa chevelure blonde, terne, très visible grâce à la lumière de la lune sortant en catimini de la maison. De la fenêtre de ma chambre je l’avais vue. Et étrangement, je me sentais ni triste, ni joyeuse à cette idée. Juste que…voilà, c’était arrivé, l’on ne pouvait rien y faire. A son regard étonné, je haussais les épaules, acceptant la fatalité, indifférente. L’indifférence. Une indifférence dont j’avais été souvent victime et qui avait fini par pénétrer mon caractère joyeux pour le rendre plus froid, distant. S’ajoutant à cela ma solitude d’enfant, ignorée, il ne pouvait en être autrement.

-Qu’est-ce qu’elle est devenue ?

L’homme reprit ses esprits, car oui il était devenu pensif. Surpris qu’une petit fille de mon âge n’émette aucune réaction à l’entente de la destruction de son univers…mais mon univers était déjà détruit et ce depuis bien longtemps. J’abrégerais les détails, je n’avais guère envie d’en parler.

- Un monstre, créé à partir du désespoir des hommes. Je l’ai…mis hors d’état de nuire.

Mon sourcil gauche se leva dans un air particulièrement sarcastique que je ne me connaissais pas. Pourquoi prendre des pincettes. La réalité était-elle trop dur à dire.

-Vous l’avez tuée. Vous avez tué ma mère.

C’était simple, clair et précis. C’était la vérité. Et apparemment ça faisait mal. Il blêmit.

-Ce n’était pas ta mère ou du moins ce ne l’était plus. Mais je ne peux t’en dire plus, car si je le faisais je serais obligé de te faire disparaitre.

Mon regard alors se remplit d’une infime lueur d’espoir. Me tuer ? Oui pourquoi pas. Je ne serais plus seule…puisque je ne vivrais plus. Ou alors je rejoindrais les cieux avec toutes les autres personnes déjà mortes et alors je serais entourée. Oui, il pouvait me tuer. C’était une bonne idée.

-Alors faite le. Vous m’avez pris la seule personne m’ayant témoigné un tant soit peu d’intérêt dans ma vie. Et elle est morte maintenant. Je n’ai plus rien. Alors dites-moi ce que vous savez. Et après tuez-moi.

Le silence se fit long. Très long. Trop long. Je m’impatientais, mon esprit enfantin revenant à l’assaut alors que mes désirs n’étaient point satisfaits. Je devenais frustrée, enfonçant mes ongles dans les paumes de mes mains déjà blessées, mon sang se répandant sur la blancheur immaculée des draps. Mais il ne disait rien, m’examinant du regard. Un regard triste, que je ne comprenais pas.

-Je ne peux pas faire ça.

Et c’est sans plus qu’il sortit de la pièce. La tension était retombée d’un coup. Je le fixais, un air perdu sur le visage. Je ne comprenais pas. Vraiment pas. C’était quoi ce bordel ? Il arrivait comme une fleur, tuait ma mère –je m’en fichais de mon père et mon frère, tout comme eux se fichaient de moi-, restait à mon chevet pour me le dire, révélait un début d’information qu’il ne devait pas divulguer soi-disant, menaçait de me tuer, avant de dire qu’il ne pouvait pas le faire, et de s’en aller. C’était vraiment incompréhensible pour moi. Je me sentais ignorée…méprisée presque, je ne comprenais pas, et on ne voulait pas m’expliquer. On me laissait toute seule et dans l’ignorance! Non ! Non je ne voulais pas ! Cela ne se passerait pas comme ça ! Sautant de mon lit ; retombant pitoyablement sur le sol, mes jambes faible ne me portant pas, je me mis à ramper énergiquement au sol, des larmes de rages coulant sur mes joues.

-Restez espèce de… Si vous ne voulez rien me dire alors tuez-moi ! Tuez-moi comme vous avez tué ma mère! Ou bien rendez-moi ma maman ! Vous l’avez tuée ! Rendez la moi ! Rendez la moi ! Je ne veux pas être toute seule !

J'étais Pitoyable. Vraiment pitoyable. Mais je me sentais si seule. J’étais seule. Mes cris se répercutait dans les couloirs désormais vides, froids, et sans âme qui vive. J’étais toute seule… et tout ça par sa faute. Je le détestais pour ce qu’il avait fait, je ne lui pardonnerais pas. Je le retrouverais un jour ! Oh oui je le retrouverais, et lui ferait ressentir ma propre solitude ! Il comprendrait ! Il comprendrait et voudrait mourir ! Alors je l’achèverais ! Mais en attendant j’étais seule…comme toujours.


OoOoOoO

Dans une pièce sombre, éclairée par quelques bougies, une jeune femme à la peau gris perles, une plume de cygne entre ses doigts écrivait lentement, soignant son écriture. Qu’écrivait-elle ? Nulle ne le savait. Et nul ne devait savoir. C’était privé. Songeuse, elle leva la tête un moment et son regard or, vide, se posa dans le néant. Pour ensuite retournée à sa feuille de papier. Personne n’aurait pu deviner ce qui lui avait traversé l’esprit, mais un regard par-dessus son épaule aurait pu déchiffrer ceci.

« Je suis née en il y a 73 ans. A l’âge de douze ans j’ai perdu ma mère. Aussi loin que je me souvienne, c’est à ce moment-là que la vraie misère –elle était supportable auparavant- a commencée. A l’école on s’est moqué de moi parce que je n’avais plus de mère, ni de père. J’ai beaucoup pleuré, crié, haï. En tant qu’enfant on se sent impuissant, on ne résiste pas à ça. Je me sentais abandonnée. Je devais me débrouiller pour survivre à l’école… Chercher de quoi manger au jour le jour. Je trouvais de la nourriture dans les poubelles de l’établissement, ou je demandais aux voisins. A l’école, quand je voyais quelqu’un éplucher une orange, je me mettais à proximité de la poubelle. Puis je récupérais les épluchures pour les manger. Pas seulement les vider, non! Je les mangeais entièrement, j’avais tellement faim. Lorsque des enfants jetaient des tartines à moitié entamées, je les récupérais et les avalait sans me soucier du reste. A l’école on n’y prêtait pas attention, mais ils ont quand même dû remarquer mon petit manège puisque ça a duré des années. Mais ils ne s’en inquiétaient pas, ils s’en fichaient. Je n’avais jamais de vêtements propres ou neufs…cela voulait tout dire.

Les voisin, était assez « serviables », ils me donnaient à manger et me gardaient quelque fois chez eux. Mais ce n’était pas suffisant.Je devais faire le ménage pour eux, aller faire les courses, je ne pouvais pas laver mon linge, manger à ma faim, si je m’avisais de toucher à quoi que ce soit qu’on ne m’est pas offert, je me prenais une gifles. Et des gifles j’en reçu. Puis un jour, à la fin de l’année, tout le monde était au courant que je n’avais plus de famille, plus de maison. Alors l’école fit en sorte de me placer dans un orphelinat. J’ignore comment. Mais chez les adultes, tout se faisait de façon tellement incompréhensible pour moi que je ne cherchais même plus le sens des actions des autres. S’en était lassant.

A l’orphelinat, chez les sœurs, on avait de quoi manger, un toit sur notre tête, et on pouvait dormir. Mais de l’affection, ça non! J’avais quinze ans et je faisais pipi au lit. C’est quelque chose qui n’est pas facile à expliquer. Dans le dortoir, on me mettait dans le lit le plus proche des toilettes. Comme si ça pouvait aider!… La sœur m’ordonnait de me mettre dans un coin avec mon drap sale. Elle disait que mon père, et ma mère décédés, pouvait me voir depuis l’enfer et qu’ils n’iraient au ciel que si j’arrêtais de faire pipi au lit. Mais je ne croyais ni en dieu ni au diable…car je les avais priée, supplié, oui. Souvent. Mais jamais ils ne m’avaient répondu en quoi que ce soit. Alors je n’y croyais pas. Je suis restée à l’orphelinat pendant un an, puis je suis allée dans une famille d’accueil. Des aristocrates de Moscou.

J’y ai vécu pendant cinq ans. J’y étais traitée comme une servante; je devais travailler du matin au soir. Je n’allais pas à l’école. On me donnait à manger, mais pas assez. J’étais forcée de voler pour manger. Pendant la journée, ils étaient toujours absents, alors je prenais du lait et je l’allongeais avec de l’eau pour qu’on ne s’en aperçoive pas, surtout que les autres domestiques n’étaient pas non plus des anges. C’était du chacun pour soi, et si tu trépassais et bien tant mieux, ça en faisait plus pour moi. J’ai fait une tentative de suicide à deux reprises; je ne veux pas insister là-dessus… Eux-mêmes avaient trois enfants que je devais élever, les autres serviteurs ayant renoncés. Des monstres d’arrogance et de vanité, à l’image de leurs parents qui s’amusait de me faire du mal, et de me voir souffrir. Je ne recevais pas la même chose à manger qu’eux, je n’étais pas traitée comme eux, et pourtant j’étais leur enfant adoptée. Allez comprendre.

La mère rentrait en début de soirée, elle passait avec un linge partout pour voir s’il restait des poussières lorsque c’était mon tour de faire le ménage. Alors je me faisais punir, sévèrement. Le père de la famille d’accueil, pendant toutes ces années, m’a fait subir des abus sexuels dont je vous passerais les détails. Après tout, les autres filles elles aussi en avaient souffert mais se taisaient, alors pourquoi j’ouvrirais ma bouche…et pour dire quoi au fait ? Aussi je l’ignorais, lui et ses remarques salaces glissées dans le noir, ce ne m’était pas inconnu. Sa femme le savait mais elle laissait faire. J’étais seule dans mon malheur, comme toujours.

Aussi dès que j’ai eu 22 ans je me suis enfuie, un lundi, alors que j’aillais faire les course, sur une impulsion, sur un coup de tête. Que j’ai regretté un peu plus tard. Car j’ai vécu dans la rue plusieurs mois...plus seule que jamais. La solitude menaçant de me faire perdre La raison. Mais je me suis battue, j’ignore pourquoi. Les railleries, la faim, la soif, les coups, les viols tard le soir par des soulards trainants dans les rues de la capitale. Je résistais tant bien que mal, mais la folie douce de la solitude me rongeait un peu plus l’esprit à chaque nouvelle blessure. Aussi, arriva -trop rapidement à mon gout-, le mois le plus froid de l'année. Et le froid était quelque chose qui en Russie était plus puissant que toutes les résolutions. Quelque chose contre quoi on ne pouvait lutter, quoi que l’on fasse. Toutefois, malgré mon état de détresse évident, j’étais encore prête à combattre, j'avais encore cette petit espoirs -vain-, que j'allais m'en sortir, pour moi, pour retrouver ce connard qui m’avait plongé dans cette misère, pour…. Pour, je ne savais même plus quoi en faite…Je me perdais dans le néant. Et c’est là que vous êtes arrivé, Prince. »

Relevant la tête, au bruit d’une porte qui s’ouvre, la Noah, se retourna lentement pour apercevoir un de ses semblables.

-Alors tu as fini ? Le Comte s’impatiente.

Indifférente, elle ne dit rien, et c’est majestueuse qu’elle se leva de sa chaise et sortit de la pièce ; sa feuille en main, prenant la direction de la chambre de son Prince.



"Svetlana Severinova N'aime Pas Les Fainéants"


Dernière édition par Svetlana Severinova le Jeu 17 Mar - 22:13, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 13:26

Je réserve.
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 13:26

Je réserve encore.
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 20:51

Bienvenue =)
Ca sent la longue fiche xP Bon courage !
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 21:18

J'ai justement peur de faire trop long ^^' M'enfin merci quand même! Very Happy

*retourne vite s'atteler à sa fifiche!*
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 5 Mar - 21:21

Hum ne t'inquiète pas. Du moment que c'est agréable à lire on ira pas s'en plaindre xD
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyMer 9 Mar - 10:04

Bienvenue parmi nous =)
Bon courage pour ta fiche Wink !
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyJeu 10 Mar - 5:52

J'aimerais avoir des avis sur l'ébauche de pouvoir que j'ai commencé -si celui-ci ne fait pas trop puissant par exemple-, pour que je puisse le changer avant de commencer mon histoire. ^^
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyJeu 10 Mar - 19:31

J'aime bien ton pouvoir =)
Et je ne le trouve pas "abusé" du tout Wink !
Au contraire, tu le limites très bien. J'ai hâte de lire ton histoire Wink.
Bonne continuation !
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyJeu 10 Mar - 20:32

Merciii! ^^ Pour l'histoire je m'y atèle de suite! Very Happy
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptySam 12 Mar - 16:05

    Jolie Fiche qui commence là, bienvenue et bon courage. (:
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyJeu 17 Mar - 21:40

Fiche terminée. J'ai décidé de faire court sur l'histoire et de sauter des passages, de ne pas décrire physiquement certains personnages, pour avoir le loisir de jouez sur ça après. J'avoue qu'avec l'école j'avais envie de finir vite Razz
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MessageSujet: Re: La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie?   La Solitude...Ma meilleure arme... ma seule amie? EmptyJeu 17 Mar - 22:07

Très belle histoire, elle reflète bien ton sentiment =)
Fiche validée =)
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